Cristina Ali Farah est née le 29 mai 1973 à Vérone en Italie. Elle est italo-somalienne contemporaine. Née en Italie d’un père somalien et d’une mère italienne, Cristina Ali Farah a vécu à Mogadiscio (Somalie) de 1976 à 1991. Elle y fréquentait l’école italienne. En 1991, après le déclenchement de la guerre civile, elle trouve refuge à Pécs (Hongrie), puis retourne dans sa ville natale avant de s’installer à Rome, en 1997, où elle obtient en 2001 une maîtrise de lettres à l’université La Sapienza de Rome. Elle s’occupe depuis 1999 d’apprentissage interculturel avec des projets en direction des étudiants, des professeurs et des femmes immigrées. Les activités portent sur les thèmes du récit, de la littérature postcoloniale et de la migration. Elle s’est occupée du recueil de récits de femmes émigrées habitant Rome . Depuis quelque temps elle contribue aux études sur le somali auprès du département de linguistique de l’université de Rome. Elle est présidente de l’agence Migra et rédactrice pour le journal Caffè.
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